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Caza eBOOK : ils en parlent… Merci !!!

 

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15/10/2022

Suite à sa lecture de Ginkoo-Bilooba, Elisabeth Vonarburg m’a autorisé à communiquer un bout de son mail en provenance directe du Québec. Elle prévoit aussi de le chroniquer dans Solaris. C’est un plaisir et un honneur pour moi.

« … récupéré avant-hier soir, lu hier, aimé for all times 🙂 J’adore les apocalypses “alternatives”—bactéries bouffe-plastique, Mètres-Cubes et al., — et la pas-utopie tellement vivable-ensemble, et la délicieuse Valentina, et le pauvre Conrad, et la visite au musée. Et les zintertextes, et la poésie, et l’amour des mots et des histoires —comment ne pas aimer !? Il y a plein de Choses Profondes dites sans faire ch…suer, (et, sainte Chronicité ayant frappé, j’ai pu mettre en parallèle hier les considérations sur les mots dont le sens disparaît et ce qui se passe en temps réel ici & maintenant dans les cultures nordiques, où, le référent naturel étant en voie de disparition, les mots s’effacent… 🙁 )
Encore bravo, et hop cascade !
Élisabeth Vonarburg (même si ça ne va pas faire remonter ma crédibilité comme critique littéraire 😂) »

Michel Iarmarcovai, dans le tout frais LDC-BéDéGrammes.

24/11/2022

Des critiques sur www.babelio.com

9/10/2022 – J.P. Andrevon, dans la Newslettre de L’Écran Fantastique.

« Ginkoo-Bilooba, sous -titré “Chronique d’une utopie modeste”, signé Philippe Caza, se présente comme un fix-up de nouvelles déjà publiées ici ou là mais réorganisées en roman, et liées par des “Préludes” qui leur donnent une cohérence. L’auteur nous décrit ici une Terre d’après l’effondrement (la “Grande Bistouille”), causée par un virus dévoreur de plastique – et on sait bien que notre pauvre monde ne tient debout que grâce au plastique omniprésent – une planète où ne survit plus qu’un milliard de personnes au mieux, nombre idéal pour qu’on ne se marche plus dessus et qu’on n’épuise pas ce qui reste à épuiser. Avec humour certes, même un peu noir parfois mais plutôt optimiste, comme l’est sa porte-parole la jeune Valentina, Caza nous donne à voir la vie quotidienne dans une France devenue tropicale au XXIIe siècle (il y a des hippopotames et des crocodiles dans la rivière), dans une optique proche de l’An 01 de Gébé, et qui pourrait avoir été inspirée par les prédictions du collapsologue Pablo Servigne : ça va être dur sur le moment, mais ça ira mieux après. Un livre réjouissant de 318 pages que l’auteur, c’est bien le moins, a illustré d’une dizaine de dessins en couleur (Arkuiris). »

CAZA et le POP Art : il en parle dans la revue Mémoires d’Images (n°51, Juin 2022) : télécharger le PDF

Dans BÉDÉGRAMMES 6.44 du lundi 13 février 2017 : Télécharger BDG644 en PDF

Les sites WEB :

Dédicaces

  • CAZA a dédicacé à la librairie Soleil Vert le samedi 24 novembre 2012

Ils en parlent sur Facebook…

Michel Iarmarcovai a écrit (Cliquer ICI pour lire la suite):
Avec «Le Jardin Délicieux», CAZA offre le plaisir de voir mêlés érudition, analyse et déconnade, trois éléments qui font rarement bon ménage ces temps-ci. (...)
Car dès qu’on aborde l’étude iconoclaste des religions du Livre, les poils se hérissent chez les «fidèles» et, à la lecture arrangée à la sauce fanatico-intégriste du moment, répond souvent et seulement une attaque rarement drôle ou argumentée mais souvent seulement offensante. Tout commence donc quand Yahvé… rien. Puis de l’humus le grand cyclope rose crée l’Homme en commençant par le mâle onaniste qui n’avait rien à se mettre sous l’Adam. Avec Eve, le serpent et le fruit défendu, ça se Corse… Le dessin de CAZA colle au propos en étant à la fois léger, acidulé et entraînant, tout ce que j’avais un instant espéré chez Crumb avant que ses premières planches dévotes ne me tombent des mains… Le catéchisme, j’ai déjà donné ! Avec CAZA, il y a la distance et l’esprit fRondeur, la Bible la mieux traduite et les clins d’œil à Lacan ou Godard, le décorticage sérieux et le délire, ce que l’on ne voit plus trop dans nos contrées terriennes du siècle 21. Comme dit plus haut, il existe une version spécialement adaptée à l’écran – c’est d’ailleurs CAZA qui m’avait conseillé, au début des BéDéGrammes mis en pages, de choisir le mode «paysage» – mais ce «Jardin Délicieux» est également disponible en vrai livre de vrai papier, imprimé avec de belles couleurs grâce au numérique. Bravo tant pour le contenu que pour la démarche éditoriale ! Toutes les informations utiles sont sur le site et chaque opus est présenté par l’auteur dans une petite vidéo; il n’hésite pas, pour «Le Jardin Délicieux» à faire Adam. J’espère que si un tome 2 sur un autre thème biblique est envisagé, ce sera une Eve qui fera la présentation.
Cliquer ici pour fermer

Silvio Cadelo a écrit :
Allez faire un tour sur ce site. L’éternelle fraîcheur des dessins de Philippe Caza nous prouve la vigueur de la BD des années 70. Vitalité, insolence, invention, création de mondes graphiques et narratif, rébellion et liberté qui ont donné vie à toute une génération de dessinateur-auteurs BD non « embedded ».

David Uystpruyst à écrit :
Si je devais vivre dans un dessin, il serait de Philippe Caza. Lequel ? Difficile de choisir tant la liste est longue et belle. De l’Âge d’Ombre à Gandahar, en passant par Arkhê, Les Scènes de la vie de banlieue ou Les Enfants de la Pluie… Sans parler des couvertures…

Et aussi à propos du Jardin Délicieux :
Le Jardin Délicieux, est un délice. C’était facile, mais en même temps : c’est vrai !
Je l’ai lu le jour ou je l’ai reçu, et puis j’ai eu envie de le relire ce week end.
Je trouve ça superbe. Pertinent, drôle, bien rythmé, intelligent et puis beau ! En fait c’est surprenant, je veux dire par là que l’ensemble surprend constamment. Il y a tout le temps des bonnes idées, c’est très riche et tout s’emboîte parfaitement (comme Adam et Ève !).
J’ai beaucoup aimé, le ton est vraiment très bon.
Un de mes petits frissons : « Comment on aurait pu savoir que c’était mal de te désobéir, puisqu’on n’avait pas encore acquis la connaissance du bien et du mal ? ». Ah c’est clair que ça la coupe.
En bref, à l’instar du personnage d’Ève, je trouve le Jardin Délicieux : extrêmement bien foutu !

Jean-Claude Claeys a écrit à propos des Monstres du Placard 1 :
Formidable, je cours l’acheter: cela me rappellera toutes sortes de souvenirs, heureux, bien sûr, puisqu’il se passait tant de choses…

Jean Schmit a écrit :
Ah mais oui, je me souviens très bien de ‘A comme’ et ‘Fume c’est du…’ C’est vrai que c’était des blogs avant l’heure. A l’époque Caza avait, comme beaucoup d’ailleurs, les cheveux un petit peu plus longs.

Jacques Martel a écrit :
Bonjour Philippe, j’ai bien reçu « La Fin du Monde » et « Le jardin délicieux », avec le l’ex-libris.
Du « Caza » qui fait plaisir, avec des touches d’humour qui me rappellent « Le Hachelème » ou les « Scènes de Vie de Banlieue », le tout bien imprimé, posté rapidement, et bien emballé. Que demander de plus ? D’autres albums ? Oui, d’autres albums…

Bodh Gaïa a écrit :
Belle initiative qui va dans le sens d’une recherche d’autonomie, de nouveaux modes de circulation de l’information et de la culture, d’une action concrète à son propre niveau mais ouverte à tout un chacun, bref du comme on aime.

Ils nous ont écrit…

Eric Mortagne :
Je vous félicite pour l’ensemble de votre merveilleux travail.
Plus discrète que celle de Bilal ou Druillet votre oeuvre n’en est pas moindre…
Entre 15 et 20 ans, j’en ai 41 maintenant, je me souviens avoir acheté un album qui compilait plusieurs de vos dessins. J’en garde un super souvenir et je regrette encore aujourd’hui d’avoir du le revendre lors d’une période financière difficile.
Votre méthode de vente sur internet est bien pensée.
Vivement que plus d’auteurs et d’éditeurs pratiquent la mise en ligne.
Les albums sont chers et vous proposez une super alternative.

Frédéric Guibert :
Je viens de recevoir la carte usb et devinez… je suis aux anges. Je cherchais depuis un moment  les premiers albums sans pouvoir éviter les spéculateurs, alors que j’avais vendu les Hlm… pas trop cher pour acheter l’intégrale et de même pour les premiers mondes d ‘ARKADI. Merci encore.
Même si le Maître est à la retraite (socialement parlant) qu’il nous fasse encore rêver avec des oeuvres superbes.

José Roosevelt : Quoi ? Kris Kool et Fume c’est du Caza, les archi-mythiques albums introuvables que je n’ai pu qu’entrevoir entre les mains moites d’un collectionneur avare et à peine agressif, plus un album de dessins de presse, plus des bonus accompagnant Kris Kool, ce chef-d’oeuvre incontournable de la bédé psychédélique… tout ça pour seulement quatorze euros et soixante misérables centimes ? C’est fait, j’ai acheté et dévoré, même si c’est sur l’écran, c’est dommage d’ailleurs, le papier est si beau, mais je ne renonce pas et je continuerai de prier pour qu’un exemplaire de Kris Kool et Fume m’apparaissent dans le bac d’un bouquiniste. En tout cas, ça m’a fait bien plaisir de re-découvrir, re-regarder, re-admirer tout ça et j’espère que le grand Caza se fasse un gros tas de « e-lecteurs » (tiens, ce néologisme a des allures politiques), aussi bien des nouveaux que de nostalgiques. Bravo et à l’un de ces jours !

Et aussi à la sortie de l’eBOOK 30×30 : Cher Philippe,
Malgré tous ses défauts, je chéris mon exemplaire original, tout déglingué qu’il est, du Caza 30 x 30. D’autant plus que le papier me semble toujours plus beau que les images sur écran. Mais je te souhaite un énorme succès pour cette version informatique: c’est un très beau recueil d’images, qui mérite d’être découvert par les nouvelles générations (comme celle qui ne jure que par le virtuel).
Amitiés de ton fan
www.juanalberto.ch

Christophe Hercé : Ma madeleine électronique
Très heureux de mettre cette adresse dans mes favoris ! J’ai 46 ans depuis une semaine et j’ai grandi avec votre travail devant les yeux ; et comme tout les gens (et dessinateur amateur), je conserve certaines madeleines de Proust graphiques dont la trilogie du « balais » (en version « Pilote » souple que j’adore) et les recueils des courts de Métal en font partie !
Bien sûr, j’ai d’autres de vos chefs-d’oeuvres (dont « Fume ») et je viens encore d’acquérir le recueil « L’Œil du dragon » la semaine dernière.
Bref, ce n’est que du bonheur pour un fan comme moi ! Alors longue vie !
Par contre, je ne suis ni sur facebook, ni sur twitter, et je ne conçois pas de lire des livres ou des BDs sur écran, mais uniquement sur papier, désolé !

Uman Andréani : Génial !
Grand admirateur des BD, illustrations de romans SF et affiches… Suis trop content ! C’est une super initiative. Je vais pouvoir faire autre que de piller les illustrations des « lettres ouvertes ». Et puis si quelques personnes dans la chaîne peuvent croûter un peu, j’vois pas le problème. Longue vie à la BD pas standardisée.

José Roosevelt : Salut Philippe,
Le Jardin Délicieux est arrivé aujourd’hui, il est très très beau – les dessins sont magnifiques ! – et je l’ai lu d’une traite, c’est très chouette et très drôle. La fin, avec le retour au jardin par le tableau de Courbet, est sensationnelle. Ma femme, qui fait des études bibliques assez avancées, va sûrement apprécier ton bouquin. Moi, bon, j’ai une tendance au polythéisme qui jette une certaine distance entre moi et tous ces textes dit sacrés… ce qui ne m’empêche pas de les trouver admirables et très inspirateurs. La preuve…
Au plaisir d’une prochaine publication… ou d’une prochaine rencontre!
Amicalement
http://www.juanalberto.ch

http://www.juanalberto.ch/canard.htm

Sur les blogs…

Les news of the Wens: (Cliquer ICI pour lire la suite):
<strong>Le jardinier des délices</strong><br /> S’il y a un truc qui est vraiment drôle, dans la bible, c’est bien cette histoire de serpent à sornettes et de grande faute commise par mademoiselle Eve en désobéissant par gourmandise à l’injonction divine et perverse de ne pas goûter à l’arbre de la connaissance dont les fruits sont méchamment hallucinogènes.<br /> Pas touche, sinon pan-pan cul-cul ! (...)

L’idée de dieux, à la base, c’était certainement pas une mauvaise idée pour expliquer les mystères qui nous entourent, feignant qu’ils en soient les instigateurs, mais ça a surtout servi, à mon avis, à prendre les enfants des bons dieux pour des cons.
Les métaphores, c’est bien joli, mais rien ne vaut un bon plan détaillé avec schéma explicatif et points sur les i.
C’est un peu ce que propose Caza dans son dernier livre « Le jardin délicieux », un plan détaillé du paradis, avec schéma explicatif et points sur les i et aussi de jolis dessins et de belles couleurs pour que les enfants du bon dieu puissent comprendre du premier coup.
C’est ce qui est bien avec la bande dessinée, on peut aborder la genèse à la façon de Robert Crumb, scrupuleusement fidèle au texte et enluminé d’une plume respectueuse, ou comme Philippe Caza, apporter une vision iconoclaste et personnelle des aventures d’Adam et Eve au paradis terrestre.
L’homme et la femme de goût, épris de justice, ne manqueront pas de lire les deux, mais si vous voulez vous marrer, je vous conseille celui de Caza. Ceux qui connaissent ses Lettres Ouvertes retrouveront l’humour parfois potache et les références pointues enlacées dans le même tango endiablé, ( si je peux me permettre cette métaphore hardie ( et Laurel ) )

Philippe Caza inaugure avec ce nouvel album une petite structure éditoriale en ligne et en papier et c’est pratique car si vous êtes curieux, ( ce qui n’a pas particulièrement réussi à Eve et Adam, mais bon ! ).Cliquer ici pour fermer

Dans la presse Papier

Metaluna n°2, avril 2013 : interview de CAZA de 2 pages et présentation du Jardin Délicieux. Télécharger le PDF

Dans la Gazette de Montpellier le 14 12 2012
Dans la Gazette de Montpellier le 14 12 2012
Willem signale le Jardin Délicieux dans Charlie Hebdo
Willem signale le Jardin Délicieux dans Charlie Hebdo
Le Jardin Délicieux dans L'antre de la Folie
Le Jardin Délicieux dans L’antre de la Folie
Paru dans BéDéGrammes 5.21 du 4 novembre 2013
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